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Forum JDR post-apocalyptique dans un monde contemporain alternatif en proie aux zombies, à des créatures pires encore ainsi que des événements surnaturels.
 

Ophélia Palmer
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Ophélia Palmer


Fiche de personnage
Points de RP:
 Ophélia Palmer Debuba110/0 Ophélia Palmer Videba10  (0/0)
Etat Mental:
 Ophélia Palmer Debuba10100/100 Ophélia Palmer Videba10  (100/100)
Crédits:
 Ophélia Palmer Debuba140/0 Ophélia Palmer Videba10  (0/0)
Réputation:
 Ophélia Palmer Debuba170/0 Ophélia Palmer Videba10  (0/0)
Informations scénaristiques:
Blessures:
Tatouages:
Cicatrices:
Ophélia Palmer

Lun 20 Nov - 11:58
Fiche d'identité
img_2010.jpg
Prénom(s) : Ophélia

Nom : Palmer

Né(e) le : 29/01/2006

À : 667 Ross Ave Dallas, Texas

Métier : Animatrice en périscolaire

Particularité(s) : Elle a deux cicatrices qu'elle a eu au cour de la seconde Apocalypse.
Une cicatrice a l'arcade droite et une brulure sur sa hanche droite.

À-propos

Thème musical :


Feat : Daria Sidorchuk
Type : Survivant

Description physique

Ophélia est une jeune femme d'une beauté saisissante. Elle possède une silhouette élancée mais mince, avec des courbes délicates qui mettent en valeur sa féminité. Sa taille fine et ses longues jambes lui confèrent une allure élégante et élancée malgré sa petite taille, de 1m64. Sa musculature n'est pas visible au premier abord, mais elle est bien présente, ses muscles lisse sa peau et son voyant quand elle utilise sa force certes normale mais efficace.
Son visage est d'une symétrie angélique, avec des traits délicats et harmonieux. Ses yeux en amande sont d'un marron profond, captivant et expressif, qui semblent refléter une grande intelligence et une sensibilité à fleur de peau. Ses sourcils bien dessinés encadrent son regard, lui donnant une intensité supplémentaire.

Ophélia possède une chevelure rousse profonde et soyeuse, qui encadre délicatement son visage. Ses cheveux sont souvent coiffés de manière naturelle, tombant en douces vagues autour de ses épaules, ajoutant une touche de romantisme à son apparence.

Son teint est d'une pâleur diaphane, presque translucide, qui contraste magnifiquement avec ses cheveux roux. Sa peau est lisse avec des taches de rousseur ornant son visage et descendant de ses épaules jusqu'au long de ses bras, donnant l'impression d'une douceur veloutée au toucher.
Ophélia possède des lèvres pleines et délicatement ourlées, d'un rose naturellement pulpeux. Son sourire est éclatant et chaleureux, d'une manière rassurante, illuminant son visage d'une aura de joie et de charme. Son rire est parfois très surprenant, il est original et aigue ressemblante a une mitraillette, son rire est parfois doux sous les mêmes tons et contamine parfois les autres leurs donnantes envies de rire ou de sourire.

En ce qui concerne son style vestimentaire, Ophélia aime porter des tenues à la fois élégantes et décontractées. Elle a un goût prononcé pour les couleurs neutres et les matières douces, qui ajoutent une touche de sophistication à son allure.

En somme, Ophélia est une femme d'une beauté naturelle. Son physique harmonieux et ses traits délicats en font une femme sans plus, banal au milieu de cet Apocalypse.

Description psychologique

Ophélia est une femme plutôt complexe et fascinante. Depuis toujours, elle est incroyablement têtue et ne lâche pas facilement prise, que ce soit lorsqu'une affaire la concerne directement ou indirectement. Elle suit davantage son instinct que sa raison, ce qui peut la mettre dans des situations dangereuses sans le vouloir réellement. Son courage la pousse parfois à agir sans réfléchir.
Sa plus grande faiblesse est sans aucun doute son fils. Ophélia serait prête à donner sa vie pour lui et elle fait tout en son pouvoir pour le protéger et le maintenir en sécurité. Cela se traduit par un manque de liberté pour son fils et une approche plutôt stricte. Elle est solitaire et méfiante, préférant se tenir à l'écart des inconnus afin de se protéger.

Au premier abord, Ophélia peut sembler froide et distante, ne faisant confiance à personne. Cependant, derrière ce masque d'introversion et de franchise se cache une personne sensible, à l'écoute et empathique envers ceux qui croisent son chemin. Son cœur est généreux et elle ne causerait jamais de tort intentionnellement à autrui. Elle aime et protège les siens, ce qui fait d'elle une personne fidèle et surtout loyale. Son sens de l'humour est basé sur des répliques de films ou de séries qu'elle regardait avant l'apocalypse, et elle ne peut s'empêcher de les citer.


Ophélia possède également un fort sens de la justice, parfois même un peu exagéré. Les coups dans le dos et les trahisons sont des choses qu'elle ne supporte pas, et elle est capable de réagir de manière extrême envers ceux qui les commettent. Pour elle, c'est un point de non-retour, et elle nourrit une rancune tenace.
Son plus gros défaut est son honnêteté, qui peut parfois être trop brutale et directe. Elle a le message à transmettre, mais elle n'a pas toujours la délicatesse nécessaire pour le faire. Elle préfère que le message soit clair.
Une partie d'elle est très exigeante envers elle-même, frôlant même le perfectionnisme. Elle se qualifie elle-même de maniaque, aimant s'investir dans les détails.

Histoire jusqu'à l'Apocalypse

Des débuts compliqués :


L'histoire d'Ophélia commence le 29 Janviers 2006 a Dallas dans le bâtiment 667 Ross Ave. Sa mère, Eudoria, avait donné naissance à son premier enfant à l'âge de 16 ans, puis à trois autres enfants par la suite. Ophélia est née avec un mois et demi d'avance, et a été hospitalisée avec sa mère en raison de sa prématurité. Heureusement, elles étaient toutes les deux en bonne santé. Ophélia fit ensuite la connaissance de ses frères : Joshua, qui avait huit ans de plus qu'elle, Thomas, qui avait quatre ans de plus, et Arthur, avec qui elle était la plus proche, ayant deux ans d'écart.

Dès l'âge de 4 ans, elle commença à subir les violences de son père, un homme alcoolique qui travaillait dans différents emplois précaires. Il revenait souvent licencié, avec une forte odeur d'alcool, et criait sans cesse, que ce soit sur elle, sa mère, ou ses frères. Chaque jour, il trouvait une raison de hurler et de les battre, principalement elle et sa mère. Pour une raison qu'elle ignore encore aujourd'hui, il n'a jamais levé la main sur ses frères. Sa mère était la plus touchée par les coups, mais lorsque celle-ci n'était pas présente, ce qui arrivait souvent en raison de ses études en psychologie pour devenir sexologue, c'était Ophélia qui encaissait le plus de violences. Etant la plus jeune, elle était la cible privilégiée de son père, d'autant plus qu'elle avait tendance à répondre. Elle ne se laissait pas faire facilement, ce qui le poussait à être encore plus sévère avec elle. Heureusement, Arthur intervenait à chaque fois que leur père levait la main sur elle.

Puis un jour, son père est parti et ne revint jamais. Sa mère était dévastée, se demandant comment elle allait payer la maison alors qu'elle était encore étudiante. Heureusement, un homme tendit la main à sa mère, Joël, qui devint son époux et donc le beau-père d'Ophélia. Joël vivait seul avec son fils Christopher, qui avait à peu près le même âge qu'Arthur. Ophélia n'avait pas grand-chose à dire sur Christopher, si ce n'est qu'ils ne s'entendaient jamais vraiment. Il était distant et ne leur parlait presque jamais.

Joël avait des origines Maori, c'était un homme bon, un monsieur tout-le-monde. Il était protecteur, pragmatique et ancré dans ses convictions et pensait que tout problème avait une solution. Il était professeur d'histoire dans le collège de Greenville, et prouvait être autant talentueux que passionné dans son travail.

Son beau-père devint une figure paternelle dans sa vie, et aujourd'hui, c'est lui qu'elle considère comme son père. Ophélia et sa famille allèrent vivre chez Joël pendant un certain temps, dans un espace restreint, mais cela n'avait pas d'importance car ils étaient ensemble. Finalement, ses parents trouvèrent une maison plus grande, dans une petite ville proche de Dallas, Greenville au 3720 Sockwell Blvd. C'était une maison spacieuse et Ophélia étant la seule fille de la famille a eu le droit a sa propre chambre alors que ses frères avait des chambres partager, Joshua et Thomas était dans la même chambre, jalousant leur sœur car ils estimaient qu'ils était plus grand, donc plus privilégier, et Arthur avec Christopher, mais parfois il arrivait qu'Arthur dorme avec sa petite sœur les week-ends.

Au début, Ophélia avait du mal à s'habituer à un homme comme Joël, elle n'avait pas l'habitude d'un homme plus doux, plus généreux, il n'osait pas crier sur eux, car il connaissait leurs passés avec leur père biologique et avait donc peur qu'ils aient peur de lui.

Cependant, ses frères Joshua et Thomas ne l'acceptèrent jamais vraiment et lui renvoyaient constamment une attitude négative, ils étaient désagréables avec lui et le rejetaient lui et son fils. Pour Arthur, c'était un nouveau départ, et pour Ophélia... Au début, c'était compliqué. Elle était heureuse de ne plus vivre sous les coups et les crie de son père biologique, mais leur relation entre elle et son beau-père était difficile. Elle pleurait souvent lorsqu'il s'approchait d'elle et ne lui parlait presque jamais. Au fil des années, ils réussirent à s'entendre à peu près, et aujourd'hui, ils ont une bonne relation.

Ophélia a beaucoup souffert du manque de repère dans son enfance. Elle n'a jamais réussi à s'entendre avec Thomas, qui en voulait beaucoup à sa mère pour une raison qu'elle ignorait, mais qui était probablement liée à leur père biologique. Elle n'avait pas grand-chose à dire sur Joshua, avec qui elle entretenait une relation fraternelle. Quant à Arthur, ils étaient inséparables et aimaient passer du temps ensemble, elle ne jouait que avec les jouait d'Arthur, petite voiture, jeu de rôle de guerre, bref les poupées Barbie ou autres jeux de dinettes Ophélia n'a jamais jouer a tout ça.
En maternelle, elle était toujours en avance par rapport aux autres enfants. Elle finit même par sauter une classe, passant de la moyenne section à la grande section. Étant la plus petite, elle était également la plus facile à embêter. C'est pourquoi son beau-père décida de l'inscrire à des cours de boxe française dès l'âge de huit ans. Au début, la boxe l'aidait à extérioriser ses émotions.
Malgré les difficultés qu'elle a traversées, elle a toujours été une élève brillante. Elle était passionnée par l'apprentissage et avait soif de connaissances. Ses résultats scolaires étaient excellents et elle se distinguait par son intelligence et sa maturité. Mais ses camarades de classe la dénigraient et elle perdit le fil et ses bonnes notes ont baissé rapidement. Elle finit par se battre avec les enfants qui l'embêtaient, avec son apprentissage en boxe, elle n'avait pas peur de perdre quand elle se battait, ce qui la poussa à changer d'école à deux reprises.

Une adolescence en miette :

Son entrée dans un nouveau collège ne s'était pas déroulée comme prévu. Après avoir été exclue pendant deux semaines après s'être encore battu avec une camarade, sa mère prit la décision de mettre fin à sa pratique de la boxe, dans l'intérêt de son bien-être et de celui des autres. Sa mère décida alors de l'inscrire à des cours de guitare, une activité qui lui permettait de se changer les idées, même si la boxe continuait à occuper les pensées de la jeune fille.
Malgré les difficultés qu'elle rencontrait, Ophélia gardait de précieux souvenirs de son passé. Elle se remémorait les moments passés avec Arthur, à faire du vélo sur le terrain de football abandonné et à décorer leur cabane dans les arbres, jouer à la bagarre, à faire des cours en courant aussi vite qu'ils le pouvaient. Les sorties en famille, notamment les soirées au cinéma, étaient également des moments qu'elle chérissait particulièrement. Les comédies faisaient rire sa famille aux éclats et créaient une ambiance joyeuse.

En quatrième, à l'âge de 13 ans, elle parvint à se calmer et devint une excellente élève, ce qui surprit tout le monde, y compris elle-même. Cette amélioration lui permit d'obtenir son diplôme et de passer au lycée, mais c'est là que les choses se compliquèrent. Elle fit des rencontres qui ne lui étaient pas favorables.

Dès son entrée au lycée, elle devint incontrôlable. Elle errait dans des bars, de jour comme de nuit, et finit par ne plus assister aux cours. Elle cherchait désespérément quelque chose de fascinant en elle-même, et c'est ainsi qu'elle fit la rencontre de ses démons intérieurs. Elle n'était pas fumeuse, car cela la rendait malade, mais elle trouva d'autres moyens d'évasion, tels que la drogue et l'alcool.

Vers l'âge de 18 ans, elle se perdit complètement. Sa vie se résumait à des nuits sans fin, et même Joël ou sa mère ne parvenaient plus à exercer le moindre contrôle sur elle. Les tentatives médicales et psychologiques pour l'aider se révélèrent inefficaces.

Elle commença à réaliser que si elle continuait sur cette voie, elle risquait de tout perdre. Même l'échec de son baccalauréat, qui suscita la colère de son beau-père, bien qu'il ne soit pas violent, fut une situation qu'elle n'avait jamais connue auparavant.

Vers l'âge de 20 ans, elle prit la décision de reprendre les rênes de sa vie.

Mais cette nuit-là...

[Flash-back]

- Août 2025 -

Ophélia n'est jamais venue dans ce bar, il est d'apparence rustique et il y a très peu de monde, il est en sous-sol, il est moi fêtard que les autres ou elle est déjà allée, celui-ci est tranquille avec des gens normaux, pas de drogue pas de problème. De dos à la porte d'entrée vers l'escalier en fer comme celui qu'on voit sur les immeubles de secours à Dallas Ophélia bois un verre d'alcool, pour sa dernière soirée ou elle pouvais boire elle ne priva pas, mais elle se laissa en tête de ne prendre que deux verres ce soir. En face d'elle, se trouve Max, un ami du lycée avec qui elle a commencé les fêtes et la drogue.

"Bah, sa passe ou sa casse, j'ai envie de te dire mec ! Mais il faut vraiment que j'aille a au Joy Coffee demain sinon le poste de serveuse que j'ai visé va peut-être, être pris, en plus j'ai de la chance, ils recherchent aussi des débutants."

Ophélia se gratte la nuque tout en offrant un sourire chaleureux à son ami, c'est un ami de long date qu'elle connaît depuis ses débuts au lycée. Elle était décider de ce reprendre en mains, elle avait prévu beaucoup de choses un boulot stable histoire d'être assez fatiguer pour ne pas sortir la nuit et reprendre ses activités, n'importe qu'elle boulot pouvais l'intéressée, elle ne savait toujours pas ce qu'elle voulait faire, le collège lui ayant trop mis la pression, et Ophélia connu pour son indécision n'a alors pas réussit a aller dans un lycée spécifique, donc c'est encore sa mère qui a du choisir. Elle avait réussi a obtenir un appartement en ce faisant passé pour une étudiante, cet appartement était loin de chez elle a Dallas au 1901 S Akard St, appartement 3. Max hoche la tête après avoir bu une gorgée de son verre.

"Toujours pas besoin d'aide pour le déménagement, tu sais, j'ai les bras et tout"

Il lui sourit à son tour, Ophélia sourit encore plus et lâche un petit rire poli. Toute sa vie on a chercher à l'aider et toute sa vie elle voulais faire les choses elle même, elle ne demande l'aide de personne et veux toujours faire tout toute seule, même si elle échoue elle recommencera et elle fera tout son possible pour réussir elle ne veux plus avoir cette vie insouciante ou elle ne sort que la nuit pour danser, se droguer ou coucher avec le premier venu. C'était d'ailleurs très dur pour elle d'arrêter la drogue, elle a réussi toute même a arrêter grâce à quelques médicaments qui semblent enfin faire effet, mais l'alcool, c'est encore un peu compliqué...

"Non, t'inquiètes pas, j'ai Arthur et Joël qui vont m'aider de toute façon. Même si Joël, il commence à rouiller un peu quand même"

Les deux amis rigole ensemble, leurs complicités est peut-être plus évoluer que celle qu'Ophélia a avec Arthur ce qui est rare pour Ophélia, mais alors que l'ami prend la parole, un homme que ne connaît pas Ophélia se présente.

"Tien salut mec ça va ? Tien bah je te présente Ophélia, c'est une pote, elle est cool."

Ophélia regarde attentivement cet homme et dès qu'elle l'a vu, elle a toute de suite eu un mauvais pressentiment, elle savait que quelque chose allait mal se passer, mais elle ne savait pas quoi, aujourd'hui encore elle se demande pourquoi elle n'est pas partie immédiatement. Ses cheveux brun et au regard sombre et froid, qui se réchauffe instantanément quand il voit la belle rousse assis.

Le regard de l'homme tombe sur Ophélia son regard de prédateurs celui qu'elle connais que trop bien la rend mal à l'aise et elle finie par prendre une gorgée de son verre pour ne pas le regarder. Après que les deux hommes aient fini de discuter l'ami d'Ophélia dit partir, Ophélia est prête à le suivre en posant son verre et en marmonnant qu'elle aussi elle devait partir, mais Max attrape doucement le bras d'Ophélia lui souriant avec bienveillance.

"Non, toi restes, toi, tu t'amuses. Juste histoire de faire de nouvelles connaissances et de profiter avant que tu n'entres dans la vie active"

Ophélia n'avait pas prévu de rester, mais par politesse elle reste avec l'inconnu, elle ne sait pas ce qui la retient vraiment de partir, pourquoi reste elle avec cet homme qui ne fait que la regarder de haut en bas, pourquoi elle se sent obligée de rester par politesse, elle est comme désorienter et comme à son habitude Ophélia décide finalement de rester. Il s'assoit l'un en face de l'autre. L'inconnu regarde derrière lui pour vérifier que Max est bien parti, Ophélia fronce des sourcils de méfiance. Elle ne compte pas rester longtemps, demain, elle doit ce lever tôt.

"On a encore toute la nuit"

L'homme expire d'un air stressé en regardant Ophélia dans les yeux. Ophélia quitte le contact visuel avec lui, son regard l'intimide, mais pas d'une bonne façon, elle est gênée. Elle répond dans un murmure assez fort pour que l'inconnu l'entende.

"Oui oui, t'inquiète, c'est juste que c'est Max qui voulait sortir moi, je voulais pas à la base, mais je l'ai suivi, je ne sais pas pourquoi."

Ophélia répond vite et sèchement finissant son verre en disant qu'elle a besoin d'aller aux toilettes. En vérité, elle veut juste sortir de cette situation des plus gênante. Partant aux toilettes sous le regard de l'inconnu qui vérifie que la porte se ferme puis il se tourne vers le serveur et demande deux autres boissons. Une fois que les verres ont été servis l'inconnu vérifie que personne ne le regarde pour sortir quelque chose de la poche de sa veste et de verser quelque chose dans le verre d'Ophélia. Il le range vite et Ophélia arrive juste à temps pour s'asseoir, elle ne se doute de rien, mais elle sur le point de dire a l'inconnu qu'elle doit partir d'urgence, bien sûr, c'est une excuse pour partir et se sortir de cette situation malaisante et malsaine.

"Je me suis permis de te payer un verre."

Ophélia remercie l'inconnu, puis il lève le verre pour qu'Ophélia puisse faire de même, ils trinquent tous les deux dans leur verre. Puis Ophélia boit une gorgée.

[Fin du Flash-back]

Le projet d'une vie :

- 02 Avril 2035 Cabinet du docteur Blair, Psychologue à Dallas au Texas -

En moins, tant qu'il ne suffit pour le dire je ne contrôlais plus rien, mon corps était lourd, je n'arrivais plus à parler, tout était déformé.
Il a dû trouver une excuse pour me ramener dans la rue et prendre une voiture.
Tout ce dont je me souviens, c'est de vouloir partir, mais pas en avoir le pouvoir. Un taxi, une odeur de vomi, le mien, un trottoir, une maison et une porte qui se ferme avec un bruit de clé.
Pour moi, ce genre d'histoire ne pouvait qu'arriver aux autres ou alors dans les films. Ne pas me souvenir de cette nuit, ne pas savoir ce qui s'est passé, c'est compliqué...

"Et qu'est-ce que vous avez fait, vous avez appelé la police après ?"

"La police ? Vous voulez rire ? Qu'est-ce que j'aurais pu leur dire ? J'ai aucun souvenir concret sur le fait que cet homme m'a drogué et m'a abusée."

"Donc cet homme ne vous a pas abusée ?"

"Si, mais je l'ai su 9 mois plus tard."

Pendant cette période, j'étais perdu, j'avais un travail et un appartement à Dallas, mais je ne sais pas, j'avais changé, je me ne souvenais pas de cette nuit, mais je savais ce qui c'était passé, je le sentais en moi. Ce qui m'a causer une peur envers les hommes, enfin je pourrais plutôt appeler ça de la méfiance, je m'enfuis pas en courant quand je vois un homme mais je suis tendu et je reste sur mes gardes, et surtout quand un homme est en état d'ivresse alors la... Je fait tout pour m'en éloignée. D'ailleurs depuis cette nuit je ne toucherais plus jamais à un verre d'alcool, rien que l'odeur me dégoute. Pendants mon travail, j'ai trouvé une formation en animation, pour les enfants, j'étais sur le point de la commencer, mais c'était toujours aussi bizarre, je me sentais bizarre, ce qui était étrange car j'aurais du être heureuse car j'avais un appart et j'était sur le point de commencer une formation professionnel pour avoir la vie que je voulait vraiment. Et le 8 mars 2026, je n'ai été prise pas un mal de ventre que je n'avait jamais ressenti auparavant, j'étais toute seule, mais des voisins ont entendu mes cries et donc ils ont débarqué chez moi. J'ai accouché à la maison sur le canapé, la voisine de mon palier de droite a tout de suite appeler les pompiers, j'ai été transporté à l'hôpital, j'ai été hospitalisé et évidemment, j'avais fait un déni de grossesse.
Contrairement aux autres qui pourraient penser que j'allais haïr cet enfant, en fait non, dès que je l'ai vu, c'était mon fils, j'ai eu cet instinct maternel qui était ancré en moi depuis toujours.
Je l'ai appelé Cole. C'était le plus jour de ma vie et c'est aussi à ce moment-là que je me suis vraiment repris en main. J'ai eu mon diplôme en animation, et j'ai travaillé dans un périscolaire qui était juste à côté de l'école de mon fils. J'ai trouvé et loué un appartement près de mon travail, j'ai eu mon permis, j'ai recommencer la boxe française, a ma plus grande joie, bref en 7 ans, je me suis réparé, je suis maintenant une femme remplie d'espoir. J'ai trouvé mon bonheur, et c'est mon fils et ma famille. Mais encore aujourd'hui, je me sens comme briser, je n'arrive pas à me faire à l'idée que Cole et l'enfant de celui qui m'a abusé. Je lui ai toujours dit qu'il n'avait pas de père, mais quand je le vois regarder les enfants de son âge être avec leur père, je sens qu'il se pose quand même des questions.

"Vous comptez lui dire un jour ?"

"Oh non... Non, c'est au-dessus de mes forces..."

J'ai ce sentiment d'impuissance face à cette situation. L'idée que Cole puisse penser qu'il est né à la suite d'un viol, et qu'il puisse considérer son père biologique comme un individu terrible, est extrêmement difficile à accepter pour moi. Je ne peux tout simplement pas le supporter. Il est possible qu'il ne soit jamais mis au courant de cette vérité... Je préfère lui dire qu'il n'a pas de père c'est tout...

Mais il ne pense plus trop a ça en ce moment, il est plus convaincu que les "zombies" vont détruire le monde, je n'arrête pas de lui dire que c'est des bêtises, mais il reste convaincu. Je n'y prête pas du toute intention moi, c'est juste des gamins qui font peur au gens dans la rue...

"Je pense que nous avons terminé pour aujourd'hui. Merci beaucoup pour votre coopération, Ophélia. Je vais examiner votre dossier et nous travaillerons ensemble, d'accord ?"

Déclare le docteur Blair. Ophélia acquiesce et se lève calmement du canapé. Elle prend son sac et se dirige vers le bureau du docteur Blair.

"Ça marche."

Le docteur Blair tourne son attention vers sa patiente et remarque son expression bouleversée et triste. Elle s'installe à son bureau, tape sur son ordinateur pour vérifier ses disponibilités, et regarde vers Ophélia. Cette dernière tend sa main, lui remettant le paiement de la séance. Le docteur Blair prend l'argent et consulte son ordinateur pour fixer la date de la prochaine séance.

"Alors, Ophélia, notre prochain rendez-vous sera le 16 avril. Cela vous convient-il ?"

Ophélia hoche la tête, se souvenant de la date et prenant mentalement note pour l'accrocher sur le frigo, comme à son habitude. Elle marmonne un :
"C'est ok pour moi"
Et le docteur Blair lui sourit chaleureusement.

"Très bien, alors à lundi prochain, Ophélia. Passez une bonne fin de journée."

Ophélia sourit, ses fossettes se dessinant au coin de ses lèvres.

"Très bien, au revoir."

Ophélia quitte la salle, passe par la file d'attente et pousse la porte, roulant des yeux devant sa difficulté à l'ouvrir. Elle sort ses clés de voiture, déverrouille le véhicule et se glisse à l'intérieur. Elle démarre le moteur et se dirige vers son appartement, perdue dans ses pensées. Elle pense à son fils, se demandant ce qu'il fait actuellement. Elle déteste le laisser seul à la maison, mais elle ne peut pas l'emmener avec elle lors de ses séances chez la psychologue. Elle reste concentrée sur la route, sans prêter attention à la radio qu'elle installe par habitude lorsqu'elle prend la voiture. Les actualités parlent de rumeurs selon lesquelles une femme aurait été abattue à Los Angeles après avoir commis des actes violents envers sa propre fille. Ophélia coupe la radio, soufflant d'entendre toutes ces absurdités diffusées toute la journée. Elle gare sa voiture au parking de son immeuble, vérifie qu'elle est bien verrouillée et monte les escaliers jusqu'à l'appartement 7. Elle sort ses clés, ouvre la porte et entre dans l'appartement. Elle repère immédiatement son fils en train de regarder les informations sur l'incident à Los Angeles. Ophélia soupire et se dirige rapidement vers le canapé, attrape la télécommande et éteint la télévision, lançant un regard noir à son fils qui lui sourit ironiquement.

"Je t'ai déjà dit de ne pas regarder ces conneries, Cole."

L'enfant lui renvoie un sourire malicieux avec ses yeux marron profonds, reflétant ceux de sa mère. Les traits autoritaires et froids de celle-ci se transforment instantanément en un regard chaleureux et inquiet.

"Pas de gros mots, maman. Et ne t'en fais pas, c'est loin, mais tu as vu ça ? Ça fait peur. Maintenant, je sais comment me déguiser pour Halloween."

Cole descend du canapé et se dirige avec sa mère vers la cuisine. Il prend les assiettes du lave-vaisselle et les dispose sur la table pendant qu'Ophélia allume le gaz pour faire cuire les pâtes, qu'elle sort du placard en face d'elle.

"Avec un peu de chance, tous tes amis seront déguisés comme toi. Mais c'est la dernière fois que tu regardes ce genre de choses à la télé. La prochaine fois, tu changes de chaîne, sinon je vais vraiment m'énerver."

Cole rigole en plaçant les couverts sur la table pendant que sa mère lui parle. Il sait parfaitement que sa mère n'a pas l'habitude de le gronder souvent et privilégie la communication et l'empathie.

"D'accord, mais c'est quand même inquiétant, non ?"

Ophélia soupire légèrement agacée et rétorque d'une voix douce mais stricte.

"Écoute, tout ça, ce sont des bêtises, mon cœur. Tu le sais bien, je te croyais plus réaliste que ça."

Le garçon sourit et continue de mettre la table.

"C'est toi qui es trop réaliste, maman. Moi, j'ai 8 ans, je suis un enfant, j'ai le droit de m'évader, comme mamie a dit."

Ophélia penche la tête de chaque côté, admettant que son fils a raison. Elle peut le laisser rêver et imaginer des choses, après tout, il est encore un enfant. À son âge, elle était exactement pareille, son imagination débordait et elle disait parfois des choses qui n'avaient rien à voir avec le sujet initial. Elle rit, suivie du rire de Cole. Vérifiant que les pâtes cuisent bien dans l'eau bouillante, elle rejoint son fils à table alors qu'il dessine dans son carnet. Cole avait insisté pour suivre des cours de dessin. Il avait un talent certain et sa créativité et son imagination lui étaient d'une grande aide. Il était doué et surtout courageux de faire deux activités extra-scolaires en même temps : suivre des cours de judo et de dessin. Cela pouvait être fatigant pour le jeune garçon, mais il ne laissait rien paraître. Ophélia avait été rassurée lorsque Cole avait accepté de pratiquer un sport de combat. Elle ne souhaitait pas le forcer à en faire, mais elle préférait qu'il apprenne à se défendre. Dallas n'est pas une ville dangereuse, mais il vaut mieux prévenir que guérir.

Le monde s'effondre :

Ophélia avait les yeux rivés sur la télévision, les jambes tremblantes et les ongles rongés par le stress. Soudain, trois énormes coups retentirent à la porte. Elle sursauta et fixa la porte avant que deux autres coups ne se fassent entendre. Elle marmonna : "Qui peut bien venir frapper à ma porte à cette heure-là ?" Lorsqu'elle ouvrit, ses yeux s'écarquillèrent en voyant son beau-père. Elle ouvrit plus largement la porte.

"Joël, mais qu'est-ce que tu fais là ?"

Les yeux de Joël débordaient de panique et d'angoisse. Ophélia comprit tout de suite qu'il y avait un problème. Elle le fit entrer et, sans rien dire, Joël se dirigea vers la cuisine d'Ophélia. Ophélia le suivit d'un pas rapide, fronçant les sourcils avant d'adopter un ton inquiétant.

"Joël, tu vas me répondre. Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu me fais peur là."

Joël la regarda enfin dans les yeux et s'avança vers elle. Son regard changea légèrement, laissant place à un mélange d'autorité et d'inquiétude.

"Ophélia, nous devons partir vite ! Nous ne sommes plus en sécurité ici. Va réveiller Cole, on part chez Josh."

Ophélia, prise de court par cette nouvelle, hocha la tête et se dirigea vers la chambre de son fils. Elle ouvrit la porte doucement avant de se diriger vers son lit et de s'asseoir tranquillement. Elle souffla, essayant de paraître calme et sereine pour éviter que son fils ne panique. Elle se pencha pour allumer la lampe de la table de nuit et chuchota doucement en frottant les cheveux de Cole.

"Cole, il faut se réveiller."

Cole frotta ses yeux avant de les ouvrir, laissant place à de la confusion face à sa mère.

"Il est quelle heure, maman ?"

Ophélia soupira et esquissa un sourire rassurant à son fils avant de fermer les yeux, sentant une vague de stress parcourir son corps, la faisant frissonner. Son fils fronça les sourcils, confus par la réaction étrange de sa mère. Ophélia prit une profonde inspiration et ouvrit les yeux, affichant un visage plus calme et serein.

"On va rendre une petite visite à ton oncle Josh. Alors prépare vite tes affaires et sois prêt dans cinq minutes, d'accord ?"

Cole parut rassuré mais toujours un peu confus face à la décision de sa mère de partir si tard. Il s'assit sur son lit et regarda sa mère.

"Ça va, maman ?"

Ophélia n'avait pas remarqué qu'une larme avait coulé le long de sa joue. Elle l'essuya rapidement et renifla légèrement.

"Allez, prépare tes affaires. On part dans dix minutes."

Ophélia se leva et referma la porte pour pouvoir parler librement à son beau-père, qui était en train de mettre toutes sortes de choses dans un carton : nourriture, boissons, etc. Joël se tourna vers Ophélia et la vit en pleurs. Il se dirigea vers elle, la regardant avec compassion, et la serra doucement dans ses bras pour lui apporter du réconfort.

"Qu'est-ce qu'on va devenir, Joël ?"

Joël se sépara d'Ophélia et la prit par les épaules. Un sourire rassurant se dessina sur son visage inquiet.

"On va faire de notre mieux, Lia. Tant qu'on est tous ensemble en famille, on sera en sécurité."

Ophélia hocha la tête avec force, essuyant ses larmes avant de se diriger vers sa chambre pour préparer ses affaires. Quand elle sortit, elle vit le sac de Cole par terre, contre la porte d'entrée. Elle scruta la pièce et le vit finalement devant le début d'un dessin animé. Joël était toujours dans la cuisine,sur son téléphone. Ophélia s'approcha rapidement de lui. Joël la vit arriver et lui sourit en lui montrant son téléphone.

"Ta mère est allée chercher Thomas et Arthur. Elle est à une station essence, elle nous y attend. Allez, on décolle."

Ophélia murmura un "d'accord" et alla voir Cole pour lui dire qu'ils partaient. Cole sourit et prit son sac, ravi d'aller voir ses cousins. Ils descendirent les escaliers et sortirent du bâtiment. Ophélia se dirigea vers sa voiture, mais Joël l'arrêta.

"Non, on prend la mienne, Lia. Allez."

Ophélia hésita un instant, puis se dirigea rapidement vers la voiture de Joël. Elle monta à l'avant et vérifia que Cole était bien attaché à l'arrière. Elle sortit les écouteurs d'un carton qui se trouvait à ses pieds et les tendit à son fils.

"Tiens, mon cœur, regarde un film sur ta tablette. Avec papi, on va parler de choses de grands, d'accord ?"

Cole prit les écouteurs en souriant à sa mère. Pendant ce temps, Joël avait tout mis dans le coffre et était maintenant monté dans la voiture, prêt à partir.

Lorsqu'Ophélia fut sûre que Cole ne les entendait pas, elle regarda Joël.

"Alors, tu vas me dire ce qu'il se passe ?"

Joël jeta un regard rapide à Ophélia, puis se reconcentra sur la route.

"Tout va partir en vrille, comme dans les autres États. Les militaires désertent les camps, il faut se cacher et essayer de ne pas attirer l'attention de ces choses sur nous. Il faut rester loin des grandes villes, c'est pour ça que nous allons chez ton frère. Son ranch est loin et isolé des grandes villes. On va là-bas le temps que les choses se calment."

Ophélia réfléchit et passe ses mains sur son visage, pensant au pire.

"Et si les choses ne se calment pas ? Et si ça se passe comme en Californie ou à Washington ? Et si c'était partout pareil ?"

Joël souffla, résigné à l'idée.

"Eh bien, on survivra tous ensemble."

Ophélia sentit une boule se former dans sa gorge. Elle savait que Joël avait raison, mais l'idée de devoir affronter une situation aussi chaotique et dangereuse lui faisait peur. Elle se tourna vers lui, cherchant du réconfort dans son regard.

"Je ne veux pas perdre mon fils, Joël."

Joël posa son regarde sur celuil d'Ophélia et lui adressa un sourire rassurant.

"Je te le promets, Lia. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le garder en sécurité et toi aussi, tu est ma fille Lia."

Ophélia acquiesça, sentant une lueur d'espoir briller au fond d'elle. Elle savait qu'elle pouvait compter sur Joël, et ensemble, ils trouveraient un moyen de traverser cette épreuve.

"Merci Joël, toi aussi, tu est comme un père pour moi."

Le trajet jusqu'au ranch de son frère fut long et silencieux. Ophélia observait le paysage défiler par la fenêtre, se demandant à quoi ressemblerait leur vie dans les jours à venir. Elle repensa à sa famille, à sa mère et ses frères, se demandant s'ils étaient en sécurité. Une vague de tristesse l'envahit, mais elle chassa rapidement ces pensées de son esprit, se concentrant sur le présent.
Lorsqu'ils arrivèrent enfin au ranch, Ophélia fut soulagée de voir son frère, Thomas, les attendre à l'entrée. Il les accueillit chaleureusement, mais son regard trahissait une certaine inquiétude.

"Je suis content de vous voir, mais les choses se sont aggravées ici aussi. Les créatures sont de plus en plus nombreuses et agressives. Nous devons être prudents."

Joël hocha la tête, comprenant la gravité de la situation. Ils décidèrent de se réunir dans la maison principale pour discuter de leur plan d'action. Ophélia sentit une bouffée de détermination l'envahir. Elle était prête à tout pour protéger sa famille.
Les jours qui suivirent furent intenses. Ils renforcèrent les défenses du ranch, stockèrent des provisions et mirent en place des systèmes d'alerte en cas d'attaque. Chaque membre de la famille avait un rôle à jouer, et ils travaillaient ensemble avec une efficacité remarquable.
Malgré les difficultés et les moments de tension, Ophélia était étonnée de voir à quel point ils étaient soudés. Ils se soutenaient mutuellement, trouvant du réconfort dans la présence des autres. Ils partageaient leurs peurs, leurs espoirs et leurs souvenirs, renforçant ainsi leurs liens familiaux.
Les semaines se transformèrent en mois, et la situation ne s'améliora pas. Les créatures continuaient de rôder, mais grâce à leur préparation et à leur détermination, la famille parvint à les repousser à chaque attaque. Ils étaient devenus une force unie, prête à tout pour survivre.

Finalement, après des mois de lutte, les créatures commencèrent à se faire moins nombreuses. La situation semblait enfin se calmer. Enfin presque...
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